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RedM : Jouez au Far West avec la communauté passionnée

Vous en avez marre de Red Dead Online qui ressemble plus à un jeu de piste qu’à une épopée western ? RedM, c’est le flingue magique qui transforme Red Dead Redemption 2 en bac à sable multijoueur délirant et personnalisable, porté par une communauté rebelle qui a juré de ne jamais obéir à Rockstar. Découvrez comment l’installer sans se prendre la tête (même si votre PC a connu les dinosaures), intégrer une tribu de cow-boys farfelus ou de hors-la-loi méthodiques, et incarner un personnage si bien ficelé qu’il pourrait tenir un rôle dans une série de braquages façon Maverick version 2.0, où chaque joueur écrit sa propre légende.

Sommaire

RedM, c’est quoi ce truc ? Le Far West, mais en mieux (et sans Rockstar)

Vous avez épuisé Red Dead Redemption 2 au point de connaître les répliques des PNJ par cœur ? Red Dead Online vous semble aussi exaltant qu’un duel où tout le monde se serre la main ?

RedM est l’explosif qu’il vous faut. C’est une modification non officielle pour PC, créée par Cfx.re (les cerveaux derrière FiveM pour GTA V). En gros, imaginez qu’on vous offre les clés du saloon pour y programmer la musique, fixer les prix… et organiser des combats de catch avec des bisons (bon, peut-être pas encore, mais l’idée est là).

Pas de Rockstar ici : RedM est un projet communautaire né de développeurs amateurs et d’admins de serveurs. Besoin d’un mode “Zombies cow-boys” ou d’un Far West où tout le monde parle en vers de mirliton ? C’est possible (ou presque). Il suffit de le coder… ou de quémander sur les forums.

Le clou du spectacle ? Le Roleplay. Incarnez un shérif véreux, un forain véloce ou un chasseur de primes phobique de l’eau. Votre personnage a un métier, une histoire, et sûrement un lourd passé à cacher. Rien à voir avec le multijoueur officiel, où on finit toujours à jouer au poker avec les mêmes têtes. Et oui, les pendaisons pour faute d’orthographe, ça arrive.

Prêt à enfourcher ce Wild West virtuel ? En selle, on vous explique tout : installation, règles, et comment éviter de finir en gibier de potence pour avoir confondu “sheriff” et “shérif”.

Illustration expliquant le concept de RedM avec un style cartoon du Far West

Comment rejoindre la ruée vers l’or numérique : le guide d’installation

Vous rêvez de galoper avec une bande de cow-boys numériques dans des contrées sauvages revisitées par la communauté ? RedM est votre cheval de selle. Mais avant de dégainer, il faut préparer le terrain. Rassurez-vous, c’est plus simple que de convaincre un shérif de vous prêter son dernier cigare.

Les prérequis avant de seller son cheval

Voici ce dont vous aurez besoin avant de lancer cette quête digitale :

  • Une version officielle et à jour de Red Dead Redemption 2 sur PC (Steam ou Rockstar Launcher). Les versions crackées ? C’est comme un cheval boiteux : ça ne tiendra pas la route.
  • Un ordi qui ne date pas du Far West informatique. Si le jeu de base tourne, RedM suivra, sauf sur les serveurs très moddés. Pour vérifier, consultez la configuration minimale requisevotre machine doit être plus robuste qu’un saloon en brique.
  • Un peu de patience et une tasse de café. Oui, même en 2025, les machines adorent nous faire poireauter pendant les mises à jour.

L’installation de RedM, étape par étape

Prêt à monter en selle ? Enfilez vos gants de cavalier numérique et suivez le guide :

  1. Direction le site officiel de Cfx.re. Téléchargez le client RedM. Un clic sur « DOWNLOAD CLIENT RedM.exe » et le tour est joué. Si le téléchargement ronchonne, un lien de secours est disponible – c’est l’équivalent d’un cheval de rechange.
  2. Lancez l’exécutable. Il détectera automatiquement le dossier d’installation de RDR2. Si la magie ne fonctionne pas (comme un chapeau perdu dans le vent), retrouvez manuellement le répertoire où se trouve RDR2.exe. Steam users, un clic droit sur le jeu > « Parcourir les fichiers locaux » vous évitera de chercher comme une aiguille dans une botte de foin.
  3. La mise à jour des données de jeu peut prendre du temps. C’est là qu’intervient la tasse de café. Ou une partie de poker. Ou une sieste. À vous de voir.
  4. Une fois terminé, le client RedM s’ouvre. L’interface affiche la liste des serveurs, les filtres… C’est aussi intuitif qu’un fusil à un canon : vous viserez vite dans le mille.

Comparé à l’installation de certains jeux où il faut décrypter des runes électroniques, RedM est une promenade. Contrairement à des processus plus directs comme pour installer Fortnite, une petite étape manuelle s’impose. Mais rien qui ne mérite un galop d’essai.

Trouver sa place au saloon : comment choisir le bon serveur RedM RP

Choisir son serveur RedM, c’est comme choisir sa bande de hors-la-loi : on ne s’associe pas au premier venu. Chaque serveur a son ambiance, ses règles, et son style de jeu. Voici comment éviter les mauvaises surprises.

Le type de Roleplay : du cow-boy sérieux au hors-la-loi libre

Les serveurs RedM varient entre RP sérieux (règles strictes, immersion totale) et Free-access (improvisation totale). Le semi-sérieux offre un équilibre, où l’immersion se marie avec des libertés ponctuelles. À vous de voir si vous préférez jouer les justiciers ou les bandits sans foi ni loi.

La communauté : avant de s’installer, visiter le saloon

Vérifiez la communauté via Discord ou les forums. C’est là que se révèle l’ambiance : joueurs bienveillants ou têtes brûlées prêtes à tirer sur tout ce qui bouge. Une communauté active, c’est l’assurance d’échanges riches – pas forcément de bières virtuelles, mais presque.

Taille du serveur : entre l’intimité et l’anonymat

Un serveur rempli garantit des interactions permanentes, mais un petit groupe offre une ambiance soudée. À vous de choisir : préférez-vous vous perdre dans la foule ou devenir une légende locale dans un clan soudé ?

La whitelist : le ticket d’entrée d’une bande organisée

Les serveurs Whitelist nécessitent une candidature. C’est l’assurance d’une communauté triée sur le volet, idéale pour du RP sérieux. Une demande bien ficelée, et vous voilà intégré, comme un membre d’un clan de renom.

Prendre le temps de bien choisir son premier serveur, c’est s’assurer des centaines d’heures de jeu mémorables plutôt que de finir seul dans la pampa numérique.

Pour naviguer, utilisez les filtres RedM (tags « RP », « PVE », langue). Si l’ambiance ne vous plaît pas, quittez discrètement… sans claquer la porte du saloon.

Les commandements du bon cow-boy : les bases du Roleplay sur RedM

Créer un personnage qui a la classe (et du sens)

Rêvez-vous d’incarner un ancien espion devenu barbier ambulant ? Pourquoi pas, mais restez simple ! Votre personnage mérite une histoire cohérente, pas un CV de héros. Imaginez-lui des failles : un médecin traumatisé par le sang, ou un hors-la-loi collectionneur de timbres. L’immersion commence par là. Un tic nerveux, comme marmonner des proverbes étranges en duel, ou une peur des chevaux ? Parfait pour le rendre humain.

Oubliez le cliché du « jeune orphelin amnésique surdoué ». Votre personnage doit évoluer, pas naître tout-puissant. Un shérif maladroit rêvant de conte d’histoires ? Pourquoi pas, tant que ses réactions restent plausibles. Offrez-lui une quête personnelle : retrouver un frère perdu, fuir un passé trouble. Chaque détail compte pour une toile narrative captivante.

Le jargon du Far West 2.0

Prêt à déchiffrer le vocabulaire du Roleplay ? Voici les concepts clés pour éviter de passer pour un « greenhorn » (terme affectueux pour « bleu ») :

  • IC (In Character) : Ce qui concerne votre personnage. Parlez, pensez comme lui. Un barbier pourrait décrire ses gestes (« Je saisis mon rasoir, le regard sombre ») pour rester dans le jeu.
  • OOC (Out Of Character) : Votre vie de joueur. Indiquez vos déconnexions via /b ou parenthèses. Mélanger IC/OOC, c’est comme inviter un ours dans un salon de thé : chaos assuré.
  • Metagaming : Utiliser des infos glanées hors jeu. Exemple : repérer un trésor via Discord et y foncer. Sanction : l’ostracisme virtuel.
  • Powergaming : Imposer un scénario sans jouer le jeu. « Je vous ligote et vous jette en rivière » sans interaction, c’est du RP façon film B.
  • Fear RP : Réagir à la menace comme un humain normal. Si un bandit pointe un fusil, fuyez. À moins d’être un fou suicidaire, mais avec cohérence.

Les erreurs du débutant à éviter

Les péchés capitaux du novice ? Parler en OOC en pleine scène, ignorer le Fear RP (comme un ours polaire insensible au feu), ou croire qu’on devient « héros » dès le lancement. Personne ne croit aux cow-boys surdoués du jour 1. Un débutant qui défie le shérif dès son arrivée ? La communauté sourira, mais ne tombera pas dans le panneau.

Le Roleplay, c’est du théâtre en ligne. Votre but ? Co-construire une histoire. Agissez en solo, et vous finirez seul… à parler à un cactus. Respectez l’immersion, et vous deviendrez une légende du Far West numérique. Ignorez-la, et vous serez un personnage oublié d’un roman raté. RedM est un opéra sauvage où chaque voix compte.

Devenir le shérif de sa propre ville : créer et héberger son serveur RedM

RedM permet de dominer un Far West numérique façon Minecraft du Far West. Mais avant de régner, deux choix s’offrent à vous : le DIY (pour bricoleurs) ou l’hébergement clé en main (pour joueurs pressés).

Hébergement personnel : le far west sauvage des serveurs

Le DIY, c’est comme construire une cabane en rondins, sauf que les murs sont des pare-feux. Un PC puissant (4 vCPU, 8 Go RAM), une connexion solide et du courage, voilà votre kit. Une panne de courant en plein duel ? Bienvenue dans la réalité d’un serveur maison.

Avantage : peu coûteux si vous avez déjà la machine. Inconvénient : préparez-vous à jouer au cow-boy de l’informatique 24h/24. Et si un DDoS frappe, vous serez seul face à la tempête.

Hébergement loué : le saloon high-tech

Les hébergeurs comme Hopela ou Evolution Host rendent l’hébergement simple et sécurisé. Pour une vingtaine d’euros mensuels, serveur stable, panneau fluide, et protection DDoS incluses. En cas de pépin, le support technique arrive au galop.

Les offres varient : PandaStic à 3,99€/mois pour 5 amis, PandaLux à 37,99€/mois pour 100 joueurs. Protection DDoS incluse, redémarrages automatisés pour éviter les plantages.

Comparatif des solutions d’hébergement pour serveur RedM
Critère Hébergement personnel (DIY) Hébergement loué (Clé en main)
Coût initial Potentiellement bas avec un PC existant Abonnement mensuel
Facilité de gestion Difficile (réseau/système) Facile (panneau de contrôle)
Performance Variable (matériel/connexion) Stable et garantie
Sécurité Faible (vulnérable aux DDoS) Élevée (protection incluse)
Idéal pour Petits serveurs entre amis Communautés de toutes tailles

Envie de royaume virtuel ? Choisissez votre voie : pionnier solidaire ou baron du cloud. Astuce : si votre seule compétence est d’éteindre la box, mieux vaut un hébergeur. Le Far West numérique, c’est dur pour les novices…

Panne de diligence ? Les solutions aux problèmes courants sur RedM

RedM, c’est l’expérience multijoueur communautaire pour Red Dead Redemption 2. Mais comme un cheval rétif, il arrive que le mod rame. Heureusement, les développeurs amateurs ont forgé des solutions simples. Pas besoin de s’énerver : voici comment redémarrer votre partie sans finir pendu au bout d’une corde virtuelle.

Si RedM refuse de s’allumer, commencez par vérifier si Steam et le launcher Rockstar tournent en mode administrateur. Un clic droit > « Exécuter en tant qu’admin » peut parfois sauver la mise. Ensuite, testez l’intégrité des fichiers du jeu via Steam. C’est l’équivalent d’un mécano qui vérifie les bielles de votre diligence.

Impossible de rejoindre un serveur ? Le problème vient peut-être de l’hôte. Les erreurs comme « connection rejected: loading user » sont fréquentes sur les serveurs RedM. Rendez-vous sur le Discord du serveur concerné : si les administrateurs ne répondent pas, le crash est probablement côté serveur. La communauté est votre boussole dans ce Far West numérique.

  1. Fermez RedM et le Rockstar Games Launcher.
  2. Ouvrez le dossier d’installation de RedM (souvent dans Program Files ou SteamApps).
  3. Retrouvez le dossier « data » et supprimez « cache », « server-cache » et « server-cache-priv ».
  4. Relancez RedM : le jeu recréera les fichiers nécessaires. Aucun risque pour vos sauvegardes, promis.

Quand tout échoue, le forum Cfx.re et les Discord des serveurs RedM regorgent de joueurs prêts à aider. Après tout, même John Marston aurait eu besoin d’un coup de main pour réparer son chariot…

Alors, RedM, c’est légal ou on finit au pénitencier ?

RedM, est-ce légal ? La réponse est claire : utiliser RedM n’est pas illégal. Pas de menottes en vue, mais creusons les fondations de cette liberté. Imaginez un saloon où les développeurs amateurs modifient le jeu, sans nuire à Rockstar.

Rockstar tolère RedM à deux conditions : ne pas concurrencer Red Dead Online et exiger une copie légale du jeu. Cfx.re, l’entité derrière RedM, suit les CGU de Rockstar. Pas de version piratée ? Vous devenez un hors-la-loi, exclu du bal des joueurs.

L’essentiel est de se rappeler que vous jouez sur des serveurs non-officiels. La seule règle d’or est de posséder une copie légale du jeu et de respecter les règles de la communauté que vous rejoignez.

Avec RedM, vous entrez dans un territoire non régulé par Rockstar, guidé par des règles communautaires établies par les joueurs. Certains serveurs exigent une immersion totale en mode rôle (RP), d’autres une modération stricte.

Pas de risque de bannissement si vous respectez les règles. En revanche, utiliser des mods dans Red Dead Online (le mode officiel) pourrait vous envoyer en prison numérique. RedM reste un espace libre, tant que vous ne trafiquez pas les règles. Pas de triche, pas de piratage, et surtout, gardez votre chapeau bien droit dans un saloon RP : votre compte Rockstar reste tranquille.

Alors, troquez le confort de Rockstar pour la liberté brute de RedM ! Plus seulement un hors-la-loi, devenez scénariste, shérif, légende vivante. Avec une communauté vive et des règles variées, RedM transforme RDR2 en toile vierge. Installez, explorez, incarnez… Osez écrire votre western. Yeehaw !

FAQ

RedM, c’est quoi au juste ? Un Far West version 2.0 ?

RedM, c’est un peu comme si vous donniez un coup de jeune à la mythologie du Far West avec un ordinateur et une connexion internet. En gros, c’est une modification (ou « mod ») pour Red Dead Redemption 2, qui transforme le solo épique de Rockstar en une aventure multijoueur déjantée. Imaginez un saloon virtuel où chaque joueur incarne son propre personnage, avec sa propre histoire, ses ambitions douteuses, et ses tentatives désespérées pour ne pas finir pendu par la communauté. Et le meilleur ? Tout ça, c’est possible grâce à Cfx.re, les mêmes génies derrière FiveM. Alors oui, c’est légal, non, ce n’est pas un DLC officiel, et oui, vous allez passer plus de temps dans ce monde virtuel que dans la vraie vie.

Comment rejoindre un serveur RedM sans se perdre dans le désert numérique ?

Rejoindre un serveur RedM, c’est comme choisir sa bande de hors-la-loi : ça demande un peu de jugeote. Première étape : téléchargez le client RedM depuis le site officiel (oui, c’est toujours vivant). Une fois installé, lancez-le et laissez-le détecter votre copie légitime de RDR2 (pas de raccourcis, hein, Rockstar a des yeux partout). Ensuite, direction l’onglet « Serveurs », où vous pourrez filtrer par ambiance (RP sérieux, semi-sérieux, ou chaos pur). Et surtout, avant de vous lancer, jetez un œil au Discord du serveur. Si les membres discutent en versant des larmes sur la mort d’un cheval, c’est bon signe. Si tout le monde parle de leur « business légitime » en utilisant des mèmes de 2012, fuyez. Vite.

RedM me fait un cache de la mort, comment le vider ?

Le cache, ce petit malin qui sauvegarde vos erreurs passées pour vous pourrir le présent. Heureusement, le vider, c’est plus simple que de convaincre un shérif de vous offrir un verre. Fermez RedM (et Steam, on n’est jamais trop prudent). Rendez-vous dans le dossier d’installation de RedM, trouvez le sous-dossier « data », et détruisez sans pitié les dossiers « cache », « server-cache », et « server-cache-priv ». Relancez le client, et comme par magie, RedM télécharge à nouveau tout ce qu’il faut. C’est comme redémarrer une voiture à essence, mais sans risquer de se faire exploser.

Que faire de sa vie dans RedM quand on a peur de l’ennui ?

Ah, la liberté absolue ! Dans RedM, vous pouvez être shérif corrompu, voleur de bétail, marchand de potions miracles, ou même… banquier honnête (bon courage). Le jeu vous permet d’interagir avec d’autres joueurs dans un théâtre d’improvisation géant. Voulez-vous monter un saloon ? Un gang ? Une entreprise de transport de coffres-forts ? Tout est possible, tant que les autres joueurs jouent le jeu. En revanche, si vous préférez vous la jouer solo, préparez-vous à devenir l’anti-héros le plus seul du comté. Le RP, c’est comme un bal masqué : si tout le monde porte un costume, autant enfiler un chapeau élégant.

Quel équipement faut-il pour jouer à RedM sans finir à la retraite prématurée ?

Votre ordinateur doit être plus costaud qu’un bison du Montana. En version minimale : un Intel i5-2500K (ou AMD équivalent), 8 Go de RAM, et une carte graphique digne de ce nom. Mais si vous voulez éviter les ralentissements dignes d’une diligence attaquée par des bandits, optez pour un i7, 12 Go de RAM, et une GTX 1060. Et surtout, assurez-vous que votre copie de RDR2 est légale (oui, Rockstar surveille). Sans oublier une connexion internet stable, histoire de ne pas perdre 10 minutes à charger un simple arbre dans une prairie.

Arthur Morgan a-t-il chopé une maladie rare dans RedM ?

Ah, Arthur, ce pauvre type qui a déjà assez de problèmes en solo ! Dans RedM, vous ne tomberez pas malade (enfin, pas physiquement). Par contre, si votre personnage oublie les bases du RP (genre se battre avec un ours en criant « OOC, bro, j’ai oublié mon blabla »), préparez-vous à une honte digitale. Mais pour les curieux, Arthur, lui, traîne sa tuberculose dans RDR2 depuis 2018. RedM ne change rien à l’histoire officielle, mais vous permet d’inventer la vôtre, sans toux ni pistolet rouillé.

RedM, c’est légal ou je risque de finir en prison avec un chat pour toute compagnie ?

Pas de panique, le Far West numérique n’a pas encore de shérif fédéral. RedM est légal, à condition d’avoir une copie légale du jeu de base. Cfx.re, les développeurs derrière, ont toujours respecté les conditions d’utilisation de Rockstar, histoire de ne pas se faire descendre en duel. En gros, tant que vous ne piratez pas le jeu et que vous respectez les règles du serveur, vous pouvez dormir tranquille. En revanche, si vous décidez de jouer un criminel, c’est votre problème de rôle. Le côté obscur du RP, quoi.

Pourquoi RedM refuse de se lancer ? Mon PC est-il maudit ?

Pas de panique, votre machine n’est peut-être pas un dinosaure. D’abord, vérifiez que Steam (ou Rockstar Launcher) est lancé avec les droits administrateur (oui, votre PC a besoin d’une permission divine). Ensuite, assurez-vous que votre copie de RDR2 est à jour (les mods détestent les versions obsolètes). Si le crash persiste, tentez un redémarrage du PC (parfois, c’est aussi efficace qu’un miracle). Et si rien ne marche, consultez le Discord du serveur ou les forums de Cfx.re. Parfois, c’est juste le serveur qui a décidé de faire une pause pipi.

jouer à RedM ? Partout, mais avec une connexion internet.

RedM se joue partout où vous avez une connexion internet et un PC digne de ce nom. Une fois installé, c’est comme choisir un saloon sur une carte : vous sélectionnez le serveur de votre choix via l’interface du client. Certains sont francophones, d’autres internationaux, certains même avec des règles aussi absurdes que « interdiction de monter à cheval sans chapeau ». Mais une chose est sûre : sans RDR2 digne d’être joué, vous serez aussi utile qu’un cactus dans un désert. Alors, avant de rêver de conquérir le Far West, vérifiez que votre machine n’est pas un objet de musée.

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