BT3 : le mystère du jeu Dragon Ball légendaire dévoilé

Vous aussi, vous avez tapé « bt3 » dans Google, espérant dénicher un trésor, pour finir face au néant ? Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul : ce mystérieux acronyme cache Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3, l’un des jeux vidéo les plus cultes de la série. Avec ses 98 combattants légendaires, son gameplay dynamique et ses arènes destructibles, ce bijou de 2007 reste une référence pour les fans de jeux de combat. Entre sa communauté active, ses mods réinventant le titre, et son statut de graal collector, BT3 prouve qu’un jeu peut devenir une véritable légende du web… même sans réponse claire sur Google.

BT3 : enquête sur le grand mystère du web

Vous avez tapé « bt3 » dans Google, espérant une révélation… et le moteur vous a répondu par le néant. Pas une info, juste le silence. Comme si le web vous avait posé un lapin. Derrière ce trou noir, une piste émerge : et si « bt3 » désignait un classique des jeux vidéo ?

Pas de réponses officielles, mais une hypothèse intrigante : les fans raccourcissent souvent des titres longs. Et là, un nom revient dans les limbes du web : Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3. Aucune preuve formelle, mais ce jeu culte, sorti en 2010, a marqué les joueurs. Son titre complexe incite à une abréviation logique, même non officielle.

Illustration du jeu Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3

Le point de départ : un acronyme, zéro réponse

Chercher « bt3 » en espérant un scoop, c’est chercher des aiguilles dans une botte inexistante. Les résultats bloquent, les pages affichent des messages de sécurité. Un comble pour un terme qui génère des requêtes. Pourquoi ? Mystère. Mais ce vide en dit long : les internautes cherchent une réponse… là où il n’y en a pas.

La piste la plus chaude : l’héritage de Dragon Ball Z

Pourquoi « bt3 » résiste-t-il à toute explication claire ? Peut-être parce que c’est un casse-tête moderne. Un acronyme trop discret, ou une blague cryptée. Mais le web est un labyrinthe où les internautes se perdent. Et si « bt3 » désignait simplement Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3 ? Le raisonnement tient. Ce jeu de combat reste un monument pour les nostalgiques. Son titre complexe a sûrement poussé les fans à l’abréviation. Juste une coïncidence savoureuse, mais pas de preuve concrète. L’enquête continue.

Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3, la fiche d’identité d’une légende

Développé par Spike, Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3 (2007) clôture la trilogie Budokai Tenkaichi. Disponible sur PS2 et Wii, c’est sur la première qu’il brille le plus. Avec 162 personnages jouables (Goku, Freezer, Arale Norimaki), ce jeu reste un monument du combat 3D. Un concentré de l’univers Dragon Ball, mêlant fidélité à l’œuvre originale et créations exclusives.

Considéré par beaucoup comme le meilleur jeu Dragon Ball Z jamais créé, BT3 n’est pas juste un jeu, c’est une encyclopédie jouable de l’univers de Toriyama, un fantasme de fan devenu réalité.

Doté de mécaniques innovantes (système de points Z, combos dynamiques), son mode histoire revisite les sagas emblématiques. Sorti en 2007, il a repoussé les limites techniques de la PS2, alors en fin de vie. Aujourd’hui, le trouver en état de marche relève d’une quête épiques pour les collectionneurs prêts à payer le prix fort.

Un jeu sorti à l’âge d’or de la PS2

Alors que la PS2 vacillait, BT3 a défié ses limites. Sorti en octobre 2007 au Japon, puis en Europe et Amérique du Nord en novembre, il a prouvé que la console pouvait encore briller. La version PS2, sans multijoueur en ligne (réservé à la Wii), offrait l’exclusivité Disc Fusion : insérer un disque des épisodes précédents débloquait des modes cachés.

Rare et précieux : le graal du collectionneur

Aujourd’hui, le jeu s’échange entre 70€ et 130€ (version déballée) ou jusqu’à 215€ pour un exemplaire complet (boîte + manuel). Les éditions scellées valent des milliers d’euros, jusqu’à 9 000€ pour un exemplaire noté 9.6 par WATA. En 2007, 1,04 million d’exemplaires vendus mondialement en font un classique. Les critiques (73% sur Metacritic) louaient son roster monstrueux et ses graphismes poussés, malgré un mode histoire court mais intense.

Un casting de folie : le panthéon des combattants de BT3

Vous croyiez avoir tout vu avec les 129 personnages de BT2 ? Attendez la révélation de BT3, qui fracasse tous les records avec 161 combattants jouables (formes incluses), un chiffre jamais égalé dans l’univers des jeux Dragon Ball. Un roster si vaste qu’il fait passer la Team7 de Naruto pour une petite réunion de quartier. Même Arale Norimaki, guest-star de Dr. Slump, débarque avec des attaques glaciales exécutées aussi gracieusement qu’un éléphant en patins. Et cerise sur le gâteau : elle peut même invoquer un pingouin géant pour distraire ses adversaires, un détail absurde qui résume parfaitement l’esprit du jeu.

Comparaison du nombre de personnages dans la série Budokai Tenkaichi
Jeu Nombre de personnages (formes incluses) Année de sortie
Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 64 2005
Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 2 129 2006
Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3 161 2007

Ce bestiaire épique couvre l’intégralité de l’univers Dragon Ball : du premier arc de Son Gokû aux péripéties de Dragon Ball GT, en passant par les films cultes. Et pour les puristes, Arale Norimaki, clone approximatif de Gokû, fait même un caméo, prouvant que les développeurs ont fouillé les moindres recoins du catalogue d’Akira Toriyama.

Plus de personnages que de vœux à Shenron

Chaque guerrier dispose de combos uniques et d’attaques spéciales. Même des second couteaux comme Nail ou le Roi Vegeta, souvent cantonnés au statut de faire-valoir, ont leurs propres techniques. Pour les collectionneurs, des dizaines de personnages s’obtiennent via des quêtes absurdes : affronter Broly en mode cauchemar, battre Mr. Satan dans un duel de postures (où il tente un « coup de poing du dragon » en tortillant des fesses), ou débloquer Chi-Chi enfant… avec un vœu de Shenron. Et pour ceux qui aiment les défis, sachez que déverrouiller l’intégralité du casting prend plus de temps que de manger un repas complet avec Piccolo.

Des combattants de l’ombre aux légendes

BT3 brille par son côté encyclopédique. Où d’autres jeux se contentent des têtes d’affiche, BT3 ressuscite des oubliés. Besoin d’un méchant qui vomit des monstres ? Devilmann est là. Envie de boxer un cyborg tyrannique ? Le Dr. Wheelo vous attend. Même des antagonistes furtifs comme Tambourine, qui n’a jamais battu que des lapins, sont jouables. Sans oublier le Roi Vegeta, père de votre pote, qui vous balance des « Végétooooon » avec un mépris royal. Une archive vivante de la licence, où chaque personnage raconte sa micro-histoire, même s’il ne sert qu’à un seul gag.

Plus qu’un jeu, une simulation de combat Dragon Ball

Imaginez-vous téléporté dans les Arènes de destruction, poursuivant un adversaire à 200 km/h, le projetant contre une montagne réduite en poussière par un Kamehameha. Bienvenue dans Dragon Ball Z Budokai Tenkaichi 3 (BT3), où les scènes mythiques deviennent mécaniques de jeu. Ce n’est pas un arcade basique : c’est un simulateur de surhommes où chaque mouvement raconte une histoire. Ici, les duels légendaires se transforment en systèmes de jeu complexes – comme si vous pilotiez les personnages de l’anime dans un ring virtuel.

  • Blast 2 : attaques spéciales fidèles à l’anime, comme le Kamehameha emblématique ou le Galick Gun de Vegeta, dévastateurs si bien placés.
  • Transformations en temps réel : passez de Super Saiyan 1 à 4 en plein combat, avec des boosts visibles en vitesse ou puissance.
  • Z-Counter : système de contre dynamique. Un bon timing transforme un assaut ennemi en riposte.
  • Environnements destructibles : montagnes, bâtiments, tout explose comme dans les duels de Cell. Coincé dans un canyon ? Un Kamehameha bien envoyé et l’arène devient votre arme.
  • Rush de Dragon : enchaînements rapides pour des fins spectaculaires. Un Vanishing Strike suivi d’un Rush High Power qui envoie l’ennemi à travers un mur – pur plaisir visuel.

BT3 ne copie pas l’anime : il le réinvente. Le sol tremble sous vos coups. Une victoire n’est jamais acquise, car un adversaire peut transformer l’arène en champ de ruines. Cet esprit d’improvisation le rend captivant.

La maîtrise du ki : au cœur du gameplay

Le ki est l’âme du jeu. En mode « Ki Max », votre personnage irradie d’une aura dorée, mais charger trop longtemps vous rend vulnérable. Les androïdes accumulent du ki automatiquement – un avantage cruel en matchs longs. Le « Hi-Tension » exige des choix stratégiques : la barre se vide lentement, mais vos coups frappent deux fois plus fort. Une danse où chaque seconde compte entre risque et récompense.

Des combos pour les pros, du fun pour tous

Le jeu séduit par sa double personnalité. Pour les novices, un simple appui sur Triangle déclenche un Kamehameha spectaculaire. Derrière cette simplicité se cache un labyrinthe de combos. Le « Vanishing Strike » vous téléporte derrière l’adversaire pour un coup foudroyant. Pour les compétiteurs, le défi est ailleurs : comment enchaîner un « Rush High Speed » après un « Z-Counter » ? Le jeu devient un art martial numérique, où chaque erreur se paie cash. Même les joueurs occasionnels s’éclatent : rares sont les jeux offrant un tel spectacle.

Des modes de jeu à la durée de vie quasi infinie

Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3, c’est l’addiction en boîte. Ses modes solo interminables et ses duels multijoueur en local suffisent à captiver des heures… ou des nuits entières. Les développeurs de Dimps ont même glissé des clins d’œil absurdes, comme le combat entre Goku et Arale. Parce que parfois, l’univers de Toriyama se prend trop au sérieux.

  1. Dragon History : Revivez DB, DBZ et DBGT avec dialogues cultes et fins alternatives. Exemple : Nail sauvant Goku contre Freezer… Une version « et si ? » qui change tout.
  2. Dragon World Tour : Rejouez le Cell Game ou le Tournoi du Roi des Arènes. L’occasion de corriger vos défaites mythiques.
  3. Ultimate Battle : Survivez à 100 combats ou grimpez en grade. Le mode « Sim Dragon » vous transforme en dragon destructeur… juste pour le plaisir.
  4. Duel : Classique ou DP (points de destruction limités), solo ou contre un pote : à vous de décider si la soirée finit en rigolade ou en drame.

Avec 30 arènes modifiables (jour/nuit) et des lieux cultes (Palais du Roi Cornu, Cell Saga ruiné), le jeu pousse à l’expérimentation. Les versions nocturnes permettent même aux Saiyans de se transformer en singe géant… grâce à la lune, ou à une version artificielle concoctée par Vegeta. La physique reste flexible ici.

Revivre toute l’histoire de Dragon Ball

Dragon History, c’est une série Netflix en mode combat : vous dévorez les sagas Saiyan, Freezer, Cell… à coups de Kamehameha. Les péripéties de Dragon Ball GT et les scénarios « et si… » (comme Goku vs Arale) ajoutent l’imprévu. Parce que parfois, l’univers de Toriyama se mélange à d’autres de ses œuvres.

Le multijoueur local, roi de la fête

Le mode local de BT3 transforme une soirée tranquille en chaos contrôlé. Le mode « Combat DP » (points limités) force des choix stratégiques… avant de tout détruire en 2 minutes. Et si vous osez le « Team Battle », préparez-vous aux alliances trahies et aux cris de victoire stridents. Après tout, qui a besoin de paix mondiale quand on a un ami prêt à se venger d’un K.O. humiliant ?

Pourquoi BT3 est-il toujours une référence absolue aujourd’hui ?

En 2025, un jeu sorti en 2007 domine encore les conversations des fans de Dragon Ball. Pourquoi ? Parce que BT3, c’est un peu le One Piece du jeu de combat : une référence incontournable, même si on aimerait parfois que l’auteur arrête de faire des filler

Plus qu’un simple jeu, BT3 est devenu une plateforme, un canevas sur lequel une communauté passionnée continue de peindre, prolongeant sa durée de vie bien au-delà de ce que ses créateurs auraient imaginé.

Alors, quels sont les secrets de cette longévité ?

  • Accessible, mais profond : Un gameplay qui accueille les novices tout en offrant assez de complexité pour garder les pros collés à leur écran.
  • Un contenu monstrueux : Des heures de mode histoire, des centaines de personnages, et même des éléments de Dragon Ball GT (oui, ce débat existe encore).
  • Une communauté moddeuse : Des fans qui ajoutent des personnages de Dragon Ball Super sur un jeu de la PS2, c’est un peu comme faire jouer Super Mario sur une montre connectée : possible, mais surtout très impressionnant.
  • Le mythe du “meilleur jeu jamais fait” : Pour certains, BT3 reste le summum du genre. Un peu comme si votre oncle jurait que la baguette de pain d’hier était meilleure que celle d’aujourd’hui.

La seconde vie grâce aux mods

Vous saviez que BT3 permet aujourd’hui d’incarner Jiren ou Goku Ultra Instinct ? Rien de magique là-dedans : juste des moddeurs qui passent leur temps libre à faire de la magie numérique. Ces passionnés transforment un jeu vieillissant en une vitrine pour l’actu Dragon Ball Super, comme si votre grand-mère se mettait soudain à twerker sur TikTok.

L’attente messianique de “BT4”

Pendant 15 ans, les fans ont répété la même phrase : “Un BT4, on le veut maintenant !” Une attente comparable à celle du dernier tome de One Piece… ou du prochain iPhone. Mais en 2024, l’annonce de Sparking! ZERO a fait exploser la communauté. Pourquoi ? Parce que BT3 n’était pas juste un jeu : c’était un état d’esprit.

Alors, le mystère BT3 est-il résolu ?

Après avoir fouillé dans les archives du web comme un détective mal équipé, force est d’admettre que BT3 n’est pas un complot cosmique, un acronyme militaire ou une formule secrète. Non, c’est bien plus mignon : il s’agit du diminutif affectueux de Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3, alias Sparking! METEOR au Japon. Un jeu si culte qu’il a mérité sa propre langue codée.

Pourquoi un tel engouement ? D’abord, ce bébé de 2007 offre un roster hallucinant : 162 personnages jouables, dont des formes inédites, des transformations et même Arale Norimaki, guest star de Dr. Slump. Ensuite, son gameplay innovant : Sonic Sway pour esquiver, Z-Counter pour clouer le adversaire, et un système jour/nuit qui permet aux Saiyans de devenir des singes géants sous la lune. Bref, un festival de nostalgie et de folie.

Mais pourquoi si peu d’informations fiables circulent ? Parce que le jeu est né dans une ère où les bases de données en ligne ressemblaient à des terres inexplorées. Les rares traces subsistantes ? Les souvenirs émus des joueurs, les parties endiablées sur PS2/Wii, et les forums de fans devenus des temples sacrés pour conserver cette flamme.

Alors, la prochaine fois que vous croiserez “BT3” dans un débat, vous saurez qu’il s’agit d’un chef-d’œuvre qui a traversé les époques. Et si vous avez un doute, retournez vous entraîner dans le mode Ultimate Battle. On vous pardonne d’avance de sacrifier vos soirées pour un tournoi…

Le mystère BT3 est résolu : c’est Dragon Ball Z: Budokai Tenkaichi 3 ! 98 combattants, combats épiques, communauté active… Ce culte de 2007 reste une légende. Prochaine fois que « bt3 » apparaît, souvenez-vous : derrière ces lettres se cache une capsule du temps prête à déclencher un Kamehameha. Le mythe vit toujours. À vos manettes !

FAQ

Combien de niveaux comporte BT3\_ ?

Si par « niveaux » vous entendez des défis à enchaîner comme dans un jeu de plateforme, c’est un malentendu : BT3 est un jeu de combat où l’essentiel se passe sur ses plus de 20 arènes (de Namek à l’Enfer en passant par la Kame House). C’est un peu comme demander à un chat combien de vies il a : ici, on ne compte pas, on détruit. Et avec des combats à haute vitesse, des téléportations et des paysages destructibles, même les montagnes de la Terre n’ont pas fini de trembler.

Combien de personnages y a-t-il dans Budokai Tenkaichi 3 ?

Imaginez un casting où même les personnages secondaires sortent de l’ombre. BT3 en aligne 98 combattants officiels, mais avec les transformations (Super Saiyan, Grand Ape, etc.), on atteint 161 formes jouables. Pour vous situer, c’est comme si un épisode de DBZ réussissait à faire venir à la fois Goku, le Roi Vegeta et… Arale de Dr. Slump sur le même ring. Un record à l’époque, et une overdose de ki pour les fans nostalgiques.

Quelle est la durée du niveau 3 Complex ?

Ah, le fameux « niveau 3 Complex »… Si c’est une référence au mode Mission 100 (100 défis pour tester vos réflexes), comptez facilement une vingtaine d’heures pour tout boucler sans aide. Pour un combattant solo, c’est un marathon. Pour un duo d’amis en duel local, c’est l’équivalent d’une soirée où les manettes volent plus haut que Goku en mode Super Saiyan 4. En bref, la durée dépend surtout de votre niveau, de votre persévérance… et de votre capacité à éviter les objets lancés en cas de défaite cuisante.

Pourquoi le niveau maximum dans BG3 est-il de 12 ?

Oh, ce cher BG3… Attendez, c’est un autre jeu (Baldur’s Gate 3, pour les curieux). Mais passons à BT3, où le concept de « niveau » est aussi étranger qu’un repas sans riz pour Krillin. Ici, on ne monte pas en niveau : on monte en puissance, en enchaînant les Blast 2, les Z-Counters et les transformations. La seule limite, c’est votre capacité à ne pas confondre un « Super Saiyan 3 » avec une crise de la quarantaine.

DBZ Budokai Tenkaichi 3 est-il rare ?

Disons que le trouver en version PS2, c’est presque aussi compliqué que de convaincre Vegeta de dire « merci ». Une copie CIB (Complete in Box) se négocie entre 30 et 60 €, tandis que l’édition Collector peut atteindre 160 €. Quant à la version scellée neuve… on parle de 699 € pour un collector. Pour un comparatif, c’est comme si votre tante offrait un vase de Chine à Noël, mais en plus casse-pieds à dénicher. Heureusement, les mods modernes et les émulateurs permettent de le jouer sans ruiner votre compte en banque.

Quel âge a Trunks ?

Dans BT3, l’âge des guerriers est aussi flou que la technique de vol de Piccolo. Mais dans l’univers de DBZ, le Trunks du futur a 14 ans à l’époque de Cell, et 18 ans dans le présent (pour ceux qui suivent le manga). Le jeu, lui, préfère se concentrer sur son épée et ses Super Saiyan, plutôt que sur ses papiers d’identité. Une chose est sûre : ce gamin pourrait vous botter les fesses même avec un âge flou.

Qui est le plus méchant dans DBZ ?

La palme du « méchant le plus flippant » revient à Frieza, roi des fourberies et de la destruction gratuite. Son CV ? Il a réduit une planète en miettes, a torturé Krillin devant Gohan, et a osé mettre les pieds sur Terre en se croyant tout-puissant. Et si vous doutez de son charisme diabolique, essayez donc de l’affronter en mode « Final Form » dans BT3… et retenez votre souffle (et votre joystick). Pour les puristes : oui, Buu et Cell ont leur part de noirceur, mais Frieza, c’est l’équivalent d’un bain moussant… sauf que la mousse, c’est les cadavres de Saiyans.

Amandine Carpentier