La cryptomonnaie respecte-t-elle les conditions écologiques ?

bitcoin planete

Chaque crypto-monnaie s’utilise de différentes manières. Afin de réduire l’empreinte environnementale des monnaies virtuelles, diverses solutions s’imposent. Plusieurs articles traitent à présent les raisons de la destruction de l’environnement des monnaies cryptographiques. Avec le procédé de minage, les monnaies numériques deviennent de plus en plus polluantes. Bien que les cryptomonnaies soient fondées à partir du minage, vous ne savez pas si elles sont écoresponsables ou pas. Idem pour les pièces de monnaie ainsi que les billets de banque. Nous allons donc retrouver tous les éléments clés à partir de ce guide. 

Les cryptomonnaies produisent la pollution dans tous ses états

Le recours au minage implique une grande quantité d’énergie à consommer

En effet, le minage donne lieu à des cryptomonnaies. En grosso modo, il permet de valider une séquence d’opérations sur une base de données en contrepartie d’une récompense. La validation consiste à coder les données. Pas besoin de miner les cryptomonnaies soi-même, veuillez-vous adresser aux acteurs de la monnaie virtuelle. 

La suite continue d’opérations de minage nécessite l’utilisation d’énergie

Avec des machines puissantes, toutes les transactions de données sont validées dans un processus de minage. Les machines, les mineurs entre guillemets demandent beaucoup d’électricité pour faciliter toutes les opérations les plus complexes. Nul sans doute ne peut nier que le minage incite donc à l’accumulation de divers mineurs. D’où la grande consommation d’énergie. Disposant de bitcoins, cela risque de multiplier la lenteur du système. De plus, un travail majeur de la part des mineurs. De toute évidence, les monnaies cryptographiques contribuent à la production d’un gaz à effet de serre sur la surface terrestre. Grâce au combustible de charbon, l’électricité s’en sert pour faire fonctionner les bitcoins. D’après les études, la Chine exploite le charbon pour faire du minage et du bitcoin. Force est de constater que ce pays en consomme encore du charbon. 40% des gaz à effet de serre proviennent de la combustion du charbon à l’échelle internationale. Ainsi, cette consommation d’électricité accentue l’empreinte carbone. À cause de l’insuffisance du charbon, la Chine a été victime d’une suspension de distribution de courant. Ainsi, le prix du bitcoin a augmenté. Bien que le bitcoin s’alimente des énergies renouvelables, cela ne signifie pas qu’il en absorbe moins d’énergie. Concernant la production de monnaies virtuelles, d’autres solutions viennent d’apparaître pour limiter la consommation d’énergie. 

Quelques mesures prises pour éviter les modifications de l’environnement des cryptomonnaies

En effet, des accords internationaux sur le climat s’imposent. À cause de l’impact environnemental des cryptodevises, une institution a été mise en place pour mesurer la diffusion de gaz à effet de serre en avril 2021. Une chose est sûre, des accords ont été établis pour éviter l’empreinte carbone dans les années à venir. Oui, il s’agit d’un bon geste adéquat. Mais qui en garantit sa fiabilité ? On reconnaît également que les cryptomonnaies sont des actifs interchangeables. Dans cette optique, les monnaies virtuelles ne peuvent être remplacées que par d’autres biens de même nature. En réalité, les cryptomonnaies se diffèrent par leur caractère fongible. À ne pas confondre avec ceux des NFT. Selon les accords, si l’on souhaite conserver le caractère non individualisé des bitcoins, on ne doit pas distinguer le bitcoin respectueux de l’environnement à celui qui s’y oppose à l’écologie. Qu’il s’agisse du minage des cryptomonnaies ou de son utilisation, ceux-ci conduisent à la pollution. A priori, les mineurs travaillent ensemble. Aussi, le fondement du bitcoin se base sur de l’écologie. De même, aucun contrôle de ses échanges dans l’avenir. On dit souvent les cryptomonnaies vertes. Malgré leur utilisation, elles entraînent la dégradation d’un écosystème. De plus, les actions à mener n’ont pas servi à de grandes choses. Tiré de son sigle CCA, le crypto climate accord a peu de valeur à l’heure actuelle. Étant donné que les solutions apportées de ces accords ont fait l’objet de doute. Bien que la fondation veuille garder la fongibilité, cela soulève des questions sur sa crédibilité. Par ailleurs, l’établissement ne manque pas d’utiliser la technique de marketing pour présenter de faux arguments sur l’écologie. En tout cas, il souhaite développer sa notoriété. Bien entendu, ce sont de nouveaux accords qui expriment l’indulgence. Par contre, le débat aspire au succès et mérite de grands progrès. 

Quelques idées des cryptomonnaies respectant les conditions écologiques

bitcoin ecologie

Le principe de base de « proof of work » et « proof of stake »

Ce n’est autre que la méthode de proof work ou de sa version française preuve de travail qui provoque la pollution des cryptomonnaies. Le bitcoin a tendance à recourir à ce système. À travers ces preuves, on peut vérifier les utilisateurs du réseau. Cependant, il va falloir attendre 10 minutes par transaction pour la validation. À titre d’information, le modèle proof of stake ne cesse de parler de lui dans les médias. Oui, c’est une autre forme de crypto-monnaie. Face à cette situation, Ethereum a affirmé qu’il va également s’en servir plus tard. Selon le constat, Ethereum, la plateforme informatique décentralisée vient d’avoir l’unanimité de tous. Ce qui crée un impact positif sur l’environnement. En général, il est primordial de catégoriser le fonctionnement du concept proof of stake à celui du proof of work. Son avantage réside dans le fait qu’il n’implique pas à des calculs mathématiques les plus complexes que les mineurs prennent l’habitude d’être récompensés. La réalisation de transactions requiert parfois une petite quantité d’énergie. Au moins 15 secondes suffisent pour passer aux transactions. En comparaison à celui du bitcoin, la méthode du proof of stake en dégage moins de pollution. Mis à part l’Ethereum, certaines cryptomonnaies comme Dash nécessitera seulement pour quelques secondes. D’une manière plus concrète, il est plus difficile de dire qu’une monnaie cryptographique s’avère plus écoresponsable qu’une autre forme de cryptomonnaies. N’ayez aucune crainte si Bitcoin prend beaucoup de temps pour effectuer la validation de ses transactions. 

En guise de conclusion, les monnaies virtuelles sont également à l’origine de pollution. Effectivement, il existe des solutions qui parviennent à limiter l’émission de gaz carbonique. Par contre, les données manquent pour en tirer une interprétation claire. 

Amandine Carpentier